mercredi 5 décembre 2007

chrétiEN

L'ichtus (en grec ancien ΙΧΘΥΣ, ἰχθύς / ikhthús ; la transcription ichthus serait plus juste) est un symbole graphique représentant un poisson formé de deux arcs de cercle. C'est un acronyme qui peut résumer cette formule par « Jésus Christ le sauveur et le fils de Dieu ».

chrétIEn


Le chrétien sympathique

chréTIen


Le chrétien exalté

chrETien


Le chrétien conservateur

chREtien


Le chrétien conquérant

cHRétien


Le chrétien du dimanche

CHrétien


Le chrétien qui se donne

chrétieN


Le chrétien qui ne veut pas se mouiller

chrétiEns


Le chrétien partagé

chrétIen


Le chrétien adolescent

chréTien


Le chrétien homme-affaire

chrEtien


La chrétienne soumise

chRétien


Le chrétien ami de Dieu

cHrétien


Le chrétien compromis

Chrétien...




le faux chrétien

voir le site:

www.colline.ch/Dossier/Predication/predic60.php

vendredi 23 novembre 2007

With or without you !!






LIFE without JESUS is...

L-onely

I-nsecure

F-ull of doubt &

E-mptiness


(La vie sans Jésus c'est la solitude, l'insécurité, beaucoup de doute et un vide)

LIFE with JESUS is...

L-ight & easy

I-nspiring

F-ull of hope &

E-nthusiasm

(La vie avec Jésus c'est lumineux et facile, inspirant, beaucoup d'espoir et d'enthousiasme)

Alors, avec ou sans Jésus?

'Merci Dima'

Pénélope

jeudi 22 novembre 2007

Oeuvre de Dieu




Dieu a crée le monde. Il commenca par la Terre, puis il y mit la lumière, enfin l'eau et le ciel, l'herbe, les arbres fruitiers... les luminaires (soleil et lune), les étoiles. Les animaux de toutes espèces suivirent et enfin l'homme.


Je voudrais simplement vous inciter, même si comme moi vous n'êtes pas épicuriens, à contempler son oeuvre. Prenez le temps de vous émerveiller de tous les détails de ce monde. N'appréciez-vous pas d'observer un coucher de soleil, les étoiles, un arc-en-ciel (symbole de l'alliance entre Lui et nous) ou encore l'envol des oiseaux, etc...?


Remerciez-le pour cela et prenez vraiment le temps d'apprécier les choses simples.

Pénélope

Reflexion

Vous êtes peut être perdu, vous cherchez des repères? Vous n'arrivez peut être plus à avancer avec Dieu?



Tout d'abord sachez que Dieu vous aimes tel que vous êtes et en toutes circonstances.


Il est le berger qui guides ses brebis égarées, il est la lumière qui nous éclaire le chemin. Jésus le dit lui-même dans Jean 14.6 : "Je suis le chemin, la vérité, la vie"


Et Jean 8.12 : " Je suis la lumière du monde"


Faites lui confiance quand cela ne va pas, il sera toujours à vos côtés.


Psaumes 37.4-5 nous dit : " Fais de l'Eternel tes délices, et il te donnera ce que ton coeur désire. Recommande ton sort à l'Eternel, mets en lui ta confiance, et il agira."

L'Eternel répond toujours! Il peut changer ta vie!


Tout comme les tournesols s'orientent vers le soleil, orientons nous vers le Seigneur.
Pénélope

dimanche 18 novembre 2007

LA PRIERE



Qu’est ce que c’est ?

C’est comme avoir un « téléphone rouge » qui communique avec Dieu : vous pouvez lui parler à n’importe quel moment et n’importe où.

Qui prier ?

Le Père : Dieu est notre « papa » mais il est aussi saint et puissant.
Le Fils : Jésus est toujours notre chemin vers Dieu le Père.
Le Saint-Esprit : Il nous aide à prier.

Pourquoi prier ?

Parce que cela développe notre relation avec Dieu, l’amitié vient du temps passé ensemble.
Parce que nous sommes les imitateurs du Christ, et il a beaucoup prié !
Parce que cela nous donne la paix et la joie, même dans les moments difficiles.
Parce que cela change les situations, la prière agit.

La prière c’est…

…communiquer avec Dieu,
…le moment où l’on apprend à connaître Dieu et où on lui parle,
…comme un téléphone qui nous permet de parler à Jésus,
…être soi-même avec Dieu,
…entendre, sentir, écouter, expérimenter des choses entre une personne et Dieu,
…plus que simplement parler à Dieu ; c’est être avec lui tel qu’il est et tel que tu es,
…comme sortir passer du temps avec Dieu

Comment prier ?

Tu peux suivre ce schéma :
M = MERCI, louer Dieu pour ce qu’il t’a donné
D = DESOLE, reconnaître devant Dieu que tu as fait des erreurs
S = S’IL TE PLAÎT, demander à Dieu ce dont toi-même et d’autres ont besoin

Tu peux prier à n’importe quel moment et n’importe où, en faisant n’importe quoi (ou presque). MAIS… il est bon d’avoir une heure régulière où tu peux apprendre à prier avec d’autres personnes.
Pénélope grace aux cours alpha jeune

samedi 17 novembre 2007

Citations


=

"Je ne parviens pas à être satisfait."

Mick Jagger des Rolling Stones


"Nous ne faisons qu'errer sans but en attendant de mourir... nous rencontrant les uns les autres par hasard et accomplissant quelques actions."

Chris Evans


La solution:

"Je suis le chemin, la vérité, la vie" (Jesus)

Jean 14:6

=

Il ne peut y avoir de Dieu d'amour", disent les hommes, "parce que si tel était le cas et qu'il décidait d'observer le monde depuis le ciel, son coeur en serait brisé." L'Eglise dit alors en pointant la croix: "Il s'est brisé."

=

"Est-ce qu'une femme oublie le bébé qu'elle allaite? Est-ce qu'elle cesse de montrer sa tendresse à l'enfant qu'elle a porté? Même s'il elle l'oubliait, moi je ne t'oublierai jamais." (Dieu)

Essaïe 49:15

=

" Je vous le dis, je connais les hommes. Jésus était plus qu'un simple homme. Il n'y a aucune comparaison possible entre lui et toute autre personne de ce monde. Charlemagne, César, Alexandre et moi avons fondé des empires mais sur quoi les avons-nous fondés? Sur la Force! Jésus a fondé un empire sur l'amour et à l'heure actuelle, des millions d'hommes seraient prêts à mourir pour lui."

Napoléon Bonaparte

=

"Le Prince Charles d'Angleterre possède beaucoup de titres officiels: Héritier présomptif de la Couronne, son Altesse royale, Prince de Galles, Duc de Cornouailles, Chevalier de l'Ordre de la Jarretière, Colonel en Chef du Régiment Royal de Galles, Duc de Rothesay, Chevalier du Chardon, Commandant de la Royal Navy, Grand Maître de l'Ordre de Bath, Compte de Chester, Compte de Garrick, Baron de Renfrew, Seigneur les Iles et Grand Intendant d'Ecosse. Nous nous adressons à lui en disant "Votre Altesse Royale", mais je suppose que ses deux fils, William et Harry, lui disent "papa". Enfants de Dieu, nous bénéficions d'une intimité avec notre Roi céleste."

Nicky gumbel

=

"La science sans la religion est boiteuse; la religion sans la science est aveugle"

Albert Einstein

=

"Quand une vieille dame lui demanda le secret de son succès, Alexandre Fleming (celui qui a découvert la pénicilline) répliqua: "Je ne peux que supposer que Dieu désirait la pénicilline et que c'est pour cela qu'il a crée Alexandre Fleming"."

=
Pénélope grace aux cours alpha jeune

jeudi 8 novembre 2007

Le sale petit bonhomme.


Le sale petit bonhomme vivait seul dans la forêt. Il s’appelait comme ça parce qu’il n’était vraiment pas propre. Il ne se lavait que trop rarement. Sa maison était dans le même état, du jardin en passant par la vaisselle jusqu’au lit, tout était cassé et plein de crasse !
Mais un jour dans cette grande forêt le sale petit bonhomme entendit un bruit… CLIP ,CLAP, CLIP, CLAP… C’était le trot d’un cheval qui , semblait-il, s’approchait de la maison du sale petit bonhomme. C’est alors que le sale petit bonhomme vit le Roi du village d’approcher de lui. Le Roi lui dit : Bonjour. Comme c’est beau vers chez vous, on peut voir tout le royaume d’ici. J’aimerais bien rester avec vous pour regarder le coucher du soleil depuis votre terrasse ?
Le sale petit bonhomme était bien embêté le jardin ne permettait pas d’accéder à la terrasse.. D’ailleurs celle-ci était vieille et dangereuse. Et lorsqu’il se retourna après avoir réfléchi le Roi était repartit… Le sale petit bonhomme était triste…il reviendra, dit-il ! Alors le sale petit bonhomme s’occupa de son jardin, ôta les mauvaises herbes. Il alla dans la forêt, coupa du bois pour la terrasse. Il acheta des chaises pour contempler le coucher du soleil de chez lui. Il prit même une douche !
Et un jour, le sale petit bonhomme entendit un bruit dans le fond de la forêt… CLIP, CLAP, CLIP, CLAP… C’était le Roi, il revenait voir le sale petit bonhomme !! Bonjour, dit le sale petit bonhomme au Roi. Bonjour, répondit le Roi, je viens voir le coucher de soleil. Ravi le sale petit bonhomme l’invita à entrer sur sa propriété. Ils passèrent l’après-midi jusqu’au soir sur la terrasse à parler. Après le coucher du soleil le Roi dit au petit bonhomme : J’ai grand faim et grand soif, qu’aurais-tu à me proposer ?
Le sale petit bonhomme était bien embêté. Il n’avait rien à manger dans son frigo , il n’y avait pas de légumes dans son jardin et pardessus tout sa vaisselle était soit cassée, soit sale. Et lorsqu’il se retourna après avoir réfléchi le Roi était repartit… Le sale petit bonhomme était triste…il reviendra, dit-il ! Alors le sale petit bonhomme planta des légumes dans son jardin, il alla au village pour acheter de la nourriture et un service de vaisselle neuf. Il alla dans la forêt, coupa du bois pour faire une table. Il lava sa cuisine et la salle à manger du sol au plafond !
Et un jour, le sale petit bonhomme entendit un bruit dans le fond de la forêt… CLIP, CLAP, CLIP, CLAP… C’était le Roi, il revenait voir le sale petit bonhomme !! Bonjour, dit le sale petit bonhomme au Roi. Bonjour, répondit le Roi, je viens voir le coucher de soleil. Ravi le sale petit bonhomme l’invita à entrer sur sa propriété. Ils passèrent l’après-midi jusqu’au soir sur la terrasse à parler. Après le coucher du soleil le Roi dit au petit bonhomme : J’ai faim et soif, qu’aurais-tu à me proposer ? Le sale petit bonhomme l’invita à entrer dans la salle à manger et lui servit un bon repas. Ils passèrent un bon moment ensemble. Après le repas le Roi dit au petit bonhomme : Je suis fatigué, j’ai fais une longue route et il est tard, m’inviterais-tu à dormir chez toi ?
Le sale petit bonhomme était bien embêté, le lit était cassé, les draps étaient sales… Et lorsqu’il se retourna après avoir réfléchi le Roi était repartit… Le sale petit bonhomme était triste… il reviendra, dit-il ! Alors le sale petit bonhomme alla dans la forêt, coupa du bois pour faire un lit. Il alla au village acheter un nouveau matelas et laver les draps sales. Il cueillit quelques fleurs de son jardin pour les poser sur la table de nuit.
Et un jour, le sale petit bonhomme entendit un bruit dans le fond de la forêt… CLIP, CLAP, CLIP, CLAP… C’était le Roi, il revenait voir le sale petit bonhomme !! Bonjour, dit le sale petit bonhomme au Roi. Bonjour, répondit le Roi. Ensemble ils regardèrent le coucher du soleil, ils mangèrent un bon repas. Et lorsque le Roi lui demanda s’il pouvait passer la nuit ici le sale petit bonhomme fut ravi de le conduire dans la chambre d’ami.Le Roi et le sale petit bonhomme étaient devenus de bons amis, si bien qu’au village on n’appelait plus le sale petit bonhomme « sale petit bonhomme » mais « l’ami du Roi ».
Je vous propose de laisser un commentaire dans lequel vous nous faites partager votre compréhension de cette histoire... Merci!
Histoire racontée par Cloveese,
Pénélope

lundi 5 novembre 2007

Que faire quand...

- Quand vous êtes troublés, appelez Jean 14
- Quand les hommes vous harcèlent, appelez Psaumes 27
- Si vous voulez porter du fruit, appelez Jean 15
- Quand vous avez péché, appelez Psaumes 51, Matthieu (11 : 28-30), Luc 15, Jean (3 : 16)
- Quand vous êtes inquiets, appelez Psaumes 46, Matthieu (6 : 19-34), Philippiens (4 :6-7), 2 Timothée (4 :16-18)
- Quand vous êtes en danger, appelez Psaumes 91
- Quand Dieu semble loin, appelez Psaumes 139
- Quand votre foi baisse, appelez Hébreux 11
- Quand vous vous sentez seuls et effrayés, appelez Psaumes 23
- Quand vous vous sentez batailleurs et critiqueurs, appelez 1 CoItaliquerinthiens 13, cela vous calmera
- Pour savoir le secret de Paul concernant le bonheur, appelez Colossiens (3 :12-17)
- Pour avoir une idée de ce qu’est l’état d’un chrétien, appelez 2 Corinthiens (5 :15-19)
- Quand vous vous sentez abattus et dépassés par les événements, appelez Romains (8 :31)
- Quand vous avez besoin de paix et de repos, appelez Psaumes 37, Matthieu (11 :25-30), Jean 14, Romains (5 :1-5)
- Quand le monde vous semble plus grand que Dieu, appelez Psaumes 90 et cela vous montrera qui est le plus grand.
- Quand vous voulez une assurance que la vie chrétienne est la seule vraiment valable ici-bas, appelez Romains (8 :1-30)
- Quand vous partez en voyage ou au travail et que vous voulez être rassurés sur votre sécurité durant votre absence de votre maison, appelez Psaumes 27 et 121, Matthieu (10 :16-20), Luc (15 :11-32)
- Quand vos prières vous semblent devenir mesquines et égoïstes, appelez Psaumes 67
- Quand vous sentez que vous êtes plus intelligents que Dieu pour créer des choses, appelez Esaïe 55
- Quand vous voulez du courage pour accomplir une tâche, appelez Josué 1
- Quand vous vous sentez seuls dans le monde ou dans l’église, appelez Psaumes 23, Jean 14, Romains 12, 2 Timothée (4 :16-18)
- Quand vous pensez aux richesses, à la débauche et à la puissance, éloignez-vous en vite et appelez Marc 10, Luc (12 : 13-21)
- Quand vos poches sont vides, appelez Psaumes 37
- Quand vous vous sentez abattus, appelez Psaumes 27
- Si vous perdez confiance et amour envers les gens, appelez 1 Corinthiens 13
- Quand les gens sont peu aimables à votre égard, appelez Jean 15
- Si vous êtes découragés dans votre travail, appelez Psaumes 126
- Si vous pensez que le monde est médiocre et petit, et que vous vous croyez assez grands pour dominer sur lui, appelez Psaumes 19, et il vous remettra à votre juste place
- Quand vous êtes découragés, appelez Romains (8 :28-29), 1 Corinthiens (15 :57-58), 1 Pierre (4 :12-13), 1 Jean (3 :1-3)
- Quand vous vous sentez abandonnés par vos amis, appelez Psaumes 27, Matthieu (10 :24-31), 2 Timothée (4 :16-18)
- Quand vous êtes en difficulté, appelez Psaumes 16, Jean (14 : 1-4), Hébreux (7 :25)
- Quand vous êtes las, tristes ou chagrinés, appelez Psaumes 6, 27, 40 et 55, Matthieu (11 :28-30), Jean (14 : 1-4), Romains (8 :31-39), Hébreux (12 :6-13)
- Quand vous êtes malades ou souffrants, appelez Psaumes 32 et 91, Romains (5 : 3-8), 2 Corinthiens (12 : 9-10)
- Quand vous avez peur, appelez Psaumes 4, Marc (4 :35-41), Hébreux (13 :5-8), 1 Jean (4 :15-19)
- Quand vous êtes tentés de retomber dans le péché, appelez Psaumes 6 et 51, Matthieu (26 : 33-35 et 69-75), Jean (21 :15-22)
- Quand vous vous sentez reconnaissants, appelez Psaumes 84, 92, 100 et 103
- Quand vous vous sentez exposés a la tentation, appelez Psaumes 1 et 73, Jacques (1 :12), 2 Pierre (2 :9)
- Quand vous êtes dans l’adversité, appelez Matthieu (10 :16-39)
- Quand vous avez des problèmes dans l’amitié, appelez Jean (15 : 12 et 17)
- Quand vous avez des problèmes avec la lecture de la Bible, appelez Jean (5 :39), Matthieu (24 : 35)
- Quand vous êtes en colère, appelez Matthieu (5 :22-24)
- Quand vous avez besoin de compassion, appelez Luc (10 : 30-37)
- Quand vous êtes tentés de médisance, appelez Matthieu (15 : 11 et 17 et 20)
- Quand vous avez des problèmes avec les critiques, appelez Matthieu (7 :1-5)
- Quand vous avez des problèmes avec la cupidité, appelez Matthieu (6 :20), Luc (12 :15-21)
- Quand vous avez des doutes, appelez Jean (20 :24-29)
- Quand vous avez des problèmes avec la droiture, appelez Matthieu (5 :20), Jean (3 : 13-21)
- Quand vous avez des problèmes avec vos ennemis, appelez Matthieu (5 : 10 et 43-48)
- Quand vous avez des problèmes avec l’extravagance, appelez Luc (12 :16-31)
- Quand vous avez des problèmes avec l’amour fraternel, appelez Jean (13 :34-35)
- Quand vous avez des problèmes avec la haine, appelez Matthieu (5 : 43-48)
- Quand vous avez des problèmes avec l’honnêteté, appelez Luc (19 :11-26)
- Quand vous avez des problèmes avec l’honneur dut aux parents, appelez Matthieu (15 :4), Marc (10 :19)
- Si vous êtes intempérants, appelez Luc (21 :34-37)
- Si vous avez des problèmes avec le mariage, appelez Marc (10 :2-12)
- Si vous avez des craintes au sujet de la mort, appelez Luc (16 :19-31), Jean (11 :25-26)
- Si vous avez des problèmes avec le pardon, appelez Matthieu (18 :21-35), Marc (11 :25-26)
- Quand vous avez des problèmes avec le péché et que vous voulez en être délivrés, appelez Jean (8 :24 et 34-36)
- Quand vous avez des problèmes avec la prière, appelez Luc (11 :1-13)
- Si vous avez des problèmes avec les serments, appelez Matthieu (5 :33-37)
- Si vous voulez savoir ce qu’est la sincérité, appelez Matthieu (7 : 15-27)
- Si vous avez des problèmes avec la tromperie, appelez Matthieu (23 : 27-28)
- Si vous avez des problèmes avec la vanité, appelez Luc (18 :9-14)
- Si vous avez l’esprit de vengeance, appelez Matthieu (5 :43-48)
- Pour savoir ce qu’est la vérité, appelez Jean (14 :6)


Les numéros d’urgence peuvent être signalés directement. L’assistance d’un téléphoniste n’est pas nécessaire. Toutes les lignes pour appeler au ciel sont ouvertes 24 heures par jour et 7 jours par semaine. Ces numéros d’urgence sont là pour nourrir votre foi et pour détruire tous vos doutes.
Pénélope, trouvé sur un blog

La peur !

Je me suis souvenue hier soir en lisant ma Bible ce qu'avait dit le pasteur un dimanche. Je lisais Psaumes 91 verset 5 : " Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flêche qui vole le jour". Puis j'ai entendu raisonner les paroles du pasteur qui disait que dans la Bible il est écrit 365 fois, si je ne m'abuse, l'ordre de ne pas craindre! Un pour chaque jour de l'année. C'est réconfortant pour moi qui ai tendance à se que la peur m'envahisse. Je sais que tous les jours le Seigneur m'encourage à Lui faire confiance et qu'Il ne veut pas que ma vie soit tournée vers la crainte mais vers Lui. Je ne dis pas que c'est des plus facile biensûr, il faut avancer pas à pas et avec patience & confiance. Si vous n'y arrivez pas priez pour cela et Il vous répondra. Il va vous aidez à prendre position mais c'est à vous d'en prendre la pleine décision !
Pénélope

mardi 30 octobre 2007

NE TE LAISSE PAS RECRUTER PAR LE DIABLE



Un jour, alors qu'elle marchait dans la rue, une femme, une de ces cadres à qui tout réussit, est tragiquement heurtée par un autobus et meurt. Son âme arrive au Paradis où elle est accueillie par St Pierre.
- Bienvenue au Paradis ! Avant de vous installer ici, il semble que nous ayons un problème. Voyez-vous, c'est plutôt étonnant mais nous n'avons jamais eu de femme 'cadre' jusqu'ici et nous ne sommes pas tout à fait surs de ce que nous devons faire de vous.
- Aucun problème, laissez-moi simplement entrer...
- J'aimerais bien mais j'ai des ordres qui viennent d'en haut. Ce que nous allons faire, c'est vous laissez passer un jour en Enfer et un jour au Paradis et ainsi vous pourrez choisir où vous voudrez passer l'éternité.
- Je pense que j'ai déjà fait mon choix.. Je préfère rester au Paradis !
- Désolé, mais nous avons des règles...
Et ainsi, St Pierre emmena la femme cadre dans un ascenseur qui descendit en Enfer.
Les portes s'ouvrirent et elle se retrouva sur le green d'un terrain de golf magnifique.
Un peu plus loin, il y avait le country club et devant, tous ses amis, bien habillés, qui l'acclamèrent. Ils s'approchèrent, l'embrassèrent et parlèrent du bon vieux temps.
Ils firent un excellent parcours de golf et, le soir, allèrent au country club où ils dégustèrent un excellent steak et du homard. La femme rencontra le Diable qui est réellement quelqu'un de charmant et elle passa un merveilleux moment à raconter des histoires et à danser.
Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte, il était temps de partir.
Tout le monde lui serra la main, lui fit au revoir et elle monta dans l'ascenseur.
Celui-ci retourna au Paradis et elle retrouva St Pierre.
- Maintenant, vous allez passer un jour au paradis...
Elle passa ainsi les 24 heures suivantes allongée paresseusement sur les nuages à jouer de la harpe et à chanter des cantiques. Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte les 24 heures étaient passées et St Pierre était de retour pour l'emmener.
- Alors, vous avez passé un jour en Enfer et un jour au Paradis. Maintenant, vous devez choisir pour l'éternité...
La femme réfléchit un instant et répondit :
- Et bien, je n'aurais jamais cru que je dirais ceci, le Paradis est vraiment bien mais je crois que je me plairai davantage en Enfer.
Alors, St Pierre l'escorta jusqu'à l'ascenseur et elle descendit à nouveau en Enfer.
Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, elle se retrouva dans un paysage désolé plein d'immondices. Elle vit ses amis vêtus de haillons ramassant les saletés pour les mettre dans des sacs.
Le Diable vint vers elle et lui mit la main sur l'épaule.
La femme balbutia :
- Je ne comprends pas... Hier, j'étais ici et il y avait un parcours de golf et un country club et nous avions mangé du homard et nous avions dansé et nous nous sommes bien amusés. Maintenant, c'est un désert d'immondices et tous mes amis semblent misérables.
Le Diable la regarda et sourit :
- Vous êtes cadre, vous devriez connaître le principe : 'Hier, nous vous recrutions. Aujourd'hui, vous faites partie du personnel'...
De même nous sommes aussi appelé à prendre conscience des plaisirs éphémères que nous offrent le diable juste pour nous séduire et enfin de compte, on passera une éternité dans les ordures, les flammes éternelles, les souffrances éternelles et tout ce qui y a de plus mauvais.....
Aimons le Seigneur Jésus et préparons nos vies pour une éternité à ses côtés; le monde et tous ses plaisirs passeront mais la parole de Dieu ne passera jamais; ainsi si tu t'accroches au monde et à ses plaisirs, tu passeras avec.
JESUS T'AIME et il tient à te sauver de toutes tes misères (Maladies, manque d'argent, anomalies, logement, célibat, stérilité...tout ce que tu peux considérer comme étant un problème pour toi Jésus est prêt à t'en libérer acceptes-le dans ta vie comme ton Seigneur et Sauveur et tu verras sa gloire).
Le plus important c'est d'aimer son prochain, l'accepter avec d'humilité.
Lire et méditer : Mathieu 5,24 et Jérémie 7
Pénélope, reçut par e-mail

A méditer !!


Un homme entra dans un salon de coiffure pour se faire couper les cheveux et tailler sa barbe comme il le faisait régulièrement. Il entama la conversation avec le barbier. Ils discutèrent de sujets nombreux et variés. Soudain, ils abordèrent le sujet de Dieu. Le barbier dit : "Écoute, je ne crois pas que Dieu existe comme tu le dis. " Pourquoi dis-tu cela? " répondit le client. " Bien, c'est facile, tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Dis-moi, si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades? Y aurait-il tant d'enfants abandonnés? Si Dieu existait, il n'y aurait pas de souffrance ni de peine. Je ne peux penser à un Dieu qui permet toutes ces choses." Le client s'arrêta un moment pour penser mais il ne voulut pas répondre pour éviter tout confrontation. Le barbier termina son travail et le client sortit du salon. Tout de suite après sa sortie, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe (il semblait bien qu'il avait été longtemps sans s'être occupé de lui-même car il avait l'air vraiment négligé). Le client retourna donc dans le salon et dit au barbier : " Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas." " Comment ça, les barbiers n'existent pas? " demanda le barbier. " Ne suis-je pas ici et ne suis-je pas un barbier moi-même? " " Non! " s'écria le client. Ils n'existent pas parce que s'ils s'existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue. " "Ah, les barbiers existent. Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi." " Exactement! " affirma le client. " Tu l'as dit : Dieu existe. Ce qui arrive c'est que les gens ne vont pas vers LUI et ne LE cherche pas, c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde."
Pénélope, prit sur un blog

! ! MISE EN GARDE ! !


Voici une convocation de Satan pour une convention mondiale, celle-ci a eu réellement lieu, lisons le attentivement et soyons vigilants afin de ne pas nous laisser prendre. Dans son discours d'ouverture à ses anges déchus, il dit: " Nous ne pouvons pas empêcher les chrétiens d'aller à l'église, nous ne pouvons pas empêcher les chrétiens de lire leur Bible et de connaître la vérité, nous ne pouvons même pas les empêcher de faire l'expérience d'une relation avec Jésus-Christ. S'ils réussissent cette relation avec Jésus, notre pouvoir sur eux est brisé. Laissons-les avoir leur style de vie conservateur, mais volons leur temps pour les empêcher d'avoir cette relation intime avec Jésus-Christ. Alors voilà ce que je veux que vous fassiez, anges déchus: "Distrayez-les, empêchez-les de s'emparer de leur sauveur et de maintenir cette relation vitale quotidienne" Alors les anges disent: " comment peut-on faire cela? "

1 - Gardez-les occupés aux choses non essentielles de la vie et inventez des machinations pour occuper leurs esprits.

2 - Poussez-les à dépenser, dépenser, dépenser, emprunter, emprunter ,emprunter.

3 - Persuadez-les femmes d'aller travailler de longues heures et les maris de travailler six, sept jours par semaines, 12h par jour pour pouvoir s'offrir ce qu'ils désirent.

4 - Empêchez-les de passer du temps avec leurs enfants et leurs familles, bientôt leur maison n'offrira plus aucune échappatoire à la tension de leur travail.

5 - Stimulez de plus en plus leur esprit au point qu'ils ne puissent plus entendre cette douce voix (le Saint-Esprit).

6 - Poussez-les à mettre la radio, les cassettes ou les CD quand ils sont au volant et les télévisions vidéos, les C.D. et leurs ordinateurs constamment en marche dans leur maison.

7 - Veuillez à ce que chaque magasin et restaurant dans le monde joue de la musique non biblique sans interruption, cela va remplir leurs esprits et casser leur union avec Jésus-Christ.

8 - Couvrez les tables basses de magazines et de journaux pour qu'ils soient envahis de nouvelles du monde 24h/24, qu'il y ait plein de panneaux publicitaires le long des routes qui les attirent quand ils conduisent.

9 - Inondez les boîtes aux lettres de courrier non intéressants, catalogues, concours de toutes sortes et toutes sortes de lettres promotionnelles offrant des produits gratuits et des services publicitaires offrant de faux espoirs.

10 - Mettez beaucoup de mannequins maigres et magnifiques sur la 1ère page des magazines pour que les hommes croient que la beauté extérieure est plus importante que la beauté intérieure, et à ce moment là ils seront mécontents de leurs femmes et cela brisera très vite les familles.

11 - Dans leur moment de récréation ou de détente, poussez-les à être excessifs, qu'ils reviennent de ce moment complètement épuisés, pas du tout en paix et pas préparé pour la semaine à venir.

12 - Ne les laissez pas aller dans la nature pour méditer les merveilles de Dieu.

13 - Envoyez-les dans des parcs d'attraction, voir des événements sportifs assister à des concerts, aller au cinéma.

14 - Gardez-les occupés, occupés, occupés et quand ils se rencontrent pour des rencontres spirituelles, entraînez-les au commérages, au bavardage, qu'ils s'en aillent après ces rencontres avec des esprits troublées et des émotions déséquilibrées.

15 - Allez-y, laissez-les s'engager pour gagner des âmes mais remplissez leur vie de tellement de bonnes causes qu'ils n'aient pas le temps de chercher la puissance venant de Jésus. Très bientôt, ils travailleront et feront tout cela de leur propre force en faisant le sacrifice de leur santé et de leur famille pour la bonne cause et cela va marcher, cela va marcher...

C'était vraiment une bonne convention ! Alors les anges déchus sont partis très vite de la convention avec pour mission d'entraîner les chrétiens à être partout de plus en plus occupés, de plus en plus pressés, en allant ça et là.

La question à se poser est : " Est-ce que le diable a réussi sa mission sur ma vie? Vous êtes seul juge. Chaque lettre du mot busy (occupé) veut dire : Being Under Satan's Yoke, ce qui signifie en français être sous le joug de Satan.
A méditer.
Pénélope, trouvé sur un blog

"L'histoire d'une vie = l'invitation au voyage"


Dans la petite ville de Dougevien, vous menez une existence tranquille, insouciante. Vous êtes jeune, presque encore adolescent, mais curieusement vous êtes déjà indépendant et habitez un petit appartement dans un immeuble confortable. Il est midi et vous rentrez chez vous. En chemin, vous saluez quelques connaissances, c’est un jour comme tous les autres à Dougevien. Dans l’entrée de votre maison, vous relevez votre boîte aux lettres et, parmi votre courrier, vous découvrez un prospectus écrit en gros caractères : « Ceci est une bonne nouvelle pour vous. Vous avez gagné un extraordinaire voyage à Paradiland, un endroit idyllique où vous bénéficierez d’un traitement digne de la personnalité que vous êtes. Vous vous y sentirez comme à la maison et la durée du séjour est illimitée. Vous prendrez le train à votre lieu de domicile jusqu’à l’aéroport de Messie-le-Sauveur. Une place vous est réservée pour le vol jusqu’à destination. Ne tardez pas car le départ est imminent et venez tel que vous êtes. Tout est gratuit, vous n’aurez rien à payez. Acceptez seulement l’invitation, c’est tout. »
Vous constatez que tous les habitants de l’immeuble ont reçu la même invitation car elle se trouve encore dans quelques boîtes aux lettres et il y en a plusieurs, au milieu d’autres publicités, dans la poubelle placée à proximité. C’est vrai que l’on reçoit tellement de paperasses de toutes sortes que beaucoup de gens ne les lisent même pas.
Vous, vous êtes intrigué par la proposition qui vous est faite. Vous pensez en premier lieu à une farce, mais on n’est pas le 1er avril et personne ne dépenserait tant d’argent pour ça. Une arnaque alors ? Mais vous avez beau lire et relire le texte, vous ne voyez pas où elle pourrait de situer.
Alors, comme vous n’avez rien de particulier à faire dans l’immédiat, vous décidez de vous rendre à la gare. Pour voir. Si c’est une farce, vous n’aurez perdu qu’une petite heure.

En chemin, vous vous apercevez que vous n’êtes pas seul à marcher en direction de la gare. Plusieurs personnes cheminent ainsi, en prenant l’air de flâner, d’aller nulle part, en jetant fréquemment des regards à gauche et à droite, comme pour s’assurer que les passants ne les observent pas en se moquant d’eux. Sans même vous en rendre compte, vous vous comportez de la même manière !
Vous voilà arrivé sur le quai. Le train est déjà là, composé de deux rames TGV accouplées. On semble attendre du monde. Mine de rien, vous longez la rame qui est en queue de convoi et sur laquelle figure un écriteau portant la mention « Messie-le-Sauveur par… » suivent en petits caractères les noms d’autres stations que vous ne prenez pas la peine de lire. Ainsi, cette invitation n’était pas une supercherie ! L’heure du départ est proche, mais vous avez tout de même le temps de longer la rame en regardant à l’intérieur, espérant peut-être reconnaître quelqu’un. Il y a déjà du monde assis. Les gens sont souriants et devisent calmement entre eux. Ils ont tous un livre ouvert sur les genoux et paraissent le commenter. Peut-être est-ce le programme détaillé du voyage. Vous hésitez un peu à monter dans l’une des voitures car il y a, sur le quai, des gens que vous connaissez, des collègues de travail notamment, et qui paraissent vous observer, aussi indécis que vous. Vous n’êtes pas encore certain de ne pas vous faire piéger et ne voudriez pas passer pour un gogo aux yeux des autres. Vous décidez donc de longer tout le train. Parvenu à la hauteur de la motrice, vous lisez une plaquette sur laquelle est écrit « Ecclésia ». Drôle de nom pour une locomotive, pensez-vous, d’habitude elles portent le nom d’une ville ou d’une région. La motrice qui est accouplée porte elle aussi un nom : « Le Monde ». Décidément, qui a eu l’idée de noms pareils ! Vous voilà maintenant à la hauteur de la première rame. L’ambiance qui règne ici est différente. On entend de la musique, les gens chantent, s’agitent. Quelqu’un vous interpelle depuis le marchepied :
- Allez, montez dans ce wagon, il y a de la place et on s’amuse comme des fous !
L’invite est tentante car, effectivement, on n’a pas l’air de s’ennuyer à l’intérieur ! Vous remarquez alors un écriteau sur la voiture. Le texte n’est pas très lisible, mais il vous semble déchiffrer « Géhenne » ou quelque chose d’approchant. Ce nom ne vous dit rien, mais les autres localités desservies vous paraissent être les mêmes que celles inscrites sur l’autre rame. Justement un employé de la gare est là pour surveiller l’embarquement, vous allez vous assurer de la chose.
- Pardon Monsieur, ces deux rames desservent bien les mêmes stations ?
- Durant une partie du voyage, oui, en effet.
- A quel endroit se séparent-elles ?
- Je ne sais pas, on ne m’en a pas informé. Mais hâtez-vous, le train va partir.
Il ne vous faut pas très longtemps pour vous décidez, d’autant que les gens se pressent aux portières. Vous allez monter ici et vous aurez le temps de réfléchir jusqu’au premier arrêt. Dans le dernier wagon, vous ne serez pas très loin de la tête de l’autre rame et vous aurez la possibilité de changer si vous en éprouvez l’envie.

Le convoi s’est mis en marche. Il fait beau, les gens autour de vous sont joyeux, insouciants. Vous l’êtes aussi car vous commencez à croire que ce fameux voyage que l’on vous offre est une réalité. Vous essayez d’évoquer le sujet avec ceux qui vous entourent, mais manifestement « Paradiland » n’est pas au centre de leurs préoccupations du moment. Ils se réjouissent seulement du voyage qu’ils viennent de commencer.
Une jeune personne apporte des rafraîchissements et vous profitez de lui poser la question qui, au fond de vous, vous inquiète un peu :
- Est-ce au prochain arrêt que les deux rames du train se séparent ? Car je vais à « Messie-le-Sauveur ».
- Non, ce n’est pas à cet arrêt-ci. Nous faisons encore un peu de route sur la même voie.
Vous êtes quelque peu rassuré, et à ce moment le haut-parleur annonce justement : « Nous arrivons à ‘Rencontre-sur’Evangile’, dix minutes d’arrêt. Vous avez la possibilité de changer de rame. Ils paraissaient bien sympathiques tous les deux, mais vous n’avez pas engagé la conversation avec eux. Vous constatez que quelques autres voyageurs les imitent, mais vous pensez que vous avez encore le temps de vous décider. Vous vous trouvez bien ici, l’ambiance est gaie, on s’amuse, les boissons sont délicieuses, il serait dommage de ne pas profiter de ces moments le plus longtemps possible.
Les portières fermées, le convoi s’est ébranlé. Avec un petit pincement au cœur vous essayez de voir si l’autre rame est toujours accrochée à la votre et, à la faveur d’un virage, vous constatez que oui. Vous poussez un soupir de soulagement. Vous êtes tranquille jusqu’au prochain arrêt.
Vous faites connaissance avec vos compagnons de route, chacun évoque ses projets mais, curieusement, « Paradiland » ne vient jamais dans la conversation. Ils parlent de ce qu’ils envisagent de faire durant le voyage : l’un a remarqué une jolie fille à qui il ne paraît pas indifférent, un autre, fervent joueur de cartes, a jeté son dévolu sur un futur « pigeon » qu’il se propose de plumer, trois autres encore se réjouissent des repas qui vous être servis, des bons vins qui les accompagneront et des alcools qui suivront ! Vous, vous n’osez pas évoquer le but de votre voyage, car vous craignez que l’on se moque de vous. Peut-être que tous ces gens n’ont pas reçu la même invitation que vous, ils ne font d’ailleurs apparemment pas le même voyage. Un petit groupe vous interpelle :
- Il nous manque un joueur pour un bridge, voulez-vous vous joindre à nous ?
Comme le « plumeur de pigeon » n’est pas de la partie, vous acceptez et rejoignez vos futurs partenaires. Un employé du train distribue des cigares tandis que le haut parleur annonce : « Prochain arrêt, ‘Coudussor-les-Epreuves’, le train restera en gare dix minutes. Il y a de la place dans la rame de queue. » Préoccupé par les cartes que l’on vous distribuait, vous n’avez pas pensé à demander si l’autre rame… Mais rien ne vous empêchera d’aller jeter un coup d’œil sur le quai et de vous renseigner pendant l’arrêt.
Vous profitez donc d’une interruption de votre partie pour vous excuser auprès des autres joueurs :
- Pardonnez-moi, je dois m’absenter un instant.

Vous vous rendez en catimini entre les deux rames. Personne ne semble s’affairer du côté de l’attelage, aucun mécanicien n’est en vue. Par contre, une certaine animation règne sur le quai. Plusieurs voyageurs venant de l’arrière rejoignent les voitures de la rame où vous vous trouvez. Quelques-uns aussi font le chemin inverse. Vous vous réjouissez d’ailleurs de retrouver vos agréables compagnons de route. Vous vous risquez tout de même à interroger un des nouveaux arrivants :
- Pourquoi avez-vous quitté l’autre rame ? L’ambiance n’était pas sympathique ?
- Ce n’est pas ça, mais j’ai quelques doutes au sujet de la destination finale, voyez-vous. D’ailleurs je n’ai jamais vraiment cru à cette offre, c’est trop beau, ça doit cacher quelque chose de pas clair. J’étais seulement venu pour me rendre compte.
A ce moment, vous apercevez votre reflet dans un miroir qui se trouve à l’extrémité du wagon et vous constatez avec quelque étonnement que vos traits ont légèrement vieilli, vous avez pris un peu d’embonpoint. Ce fait ne suscite toutefois pas un grand étonnement en vous. Vous pensez qu’il est vrai que le temps passe et vous retournez à votre partie de cartes tandis que le train repart. En observant vos voisins, vous constatez que leur physionomie à aussi changé et, fait curieux, certains ont vieilli davantage que d’autres. Mais cela vous semble tout à fait normal, par ailleurs.

Maintenant, le brouhaha s’est amplifié dans la voiture. Les rires fusent, des exclamations jaillissent ici et là, les gens parlent plus fort, l’atmosphère est chargée de fumée et de vapeurs d’alcool. Parfois les esprits s’échauffent un peu, une dispute éclate, on s’invective à propos d’une place près de la fenêtre occupée par quelqu’un d’autre pendant votre absence, pourtant c’est finalement la gaieté qui domine. Une sorte de frénésie semble avoir gagné tous les voyageurs. Vous n’avez même pas pris garde que le train s’était arrêté. Ce n’est que lors du départ que vous avez lu le nom de la station : « Labelvie ». C’est que tout est organisé ici pour vous rendre le voyage agréable. Loteries, jeux, cinéma, musique, danse, divertissements de toutes sortes vous sont proposés sans répit, si bien sue vous ne voyez pas le temps passer. Vous entendez à peine le nom de la station où vous allez arriver : « Stress-et-Agendalpin, … nutes d’arrêt… Changement… »
Vous pensez que c’est peut-être le moment de gagner les voitures à destination de « Messie-le-Sauveur ». Vous descendez discrètement sur le quai et vous vous renseignez auprès d’un agent en uniforme :
- Combien de temps d’arrêt s’il vous plait ?
- Quelques minutes seulement.
Vous courez jusqu’à la rame suivante et montez dans la première voiture. Tout est calme, feutré, ici. Il y a encore de la place, d’autant que vous avez croisé plusieurs voyageurs qui se dirigeaient vers la rame que vous venez de quitter, l’air affairé. Quelques personnes vous adressent un sourire et vous invitent à les rejoindre, mais vous hésitez. Vous avez maintenant de vrais copains dans l’autre rame et vous ne leur avez même pas dit au revoir. Que penseraient-ils de vous ? En hâte vous regagnez votre place, au moment précis où le train s’ébranle à nouveau. Les deux rames ensemble.

Vous vous plaisez bien dans cette voiture et vous pensez de moins en moins à « Paradiland ». La destination de cette rame est certainement aussi très attractive, même si personne ne peut répondre à votre interrogation autrement que par un haussement d’épaules. Les quelques voyageurs en provenance de l’autre rame parlent bien de bruits qui circulent là-bas, mais qui ne les ont pas convaincus, au sujet d’un terminus pas très engageant pour ce train-ci. Les nouveaux arrivants émettent même certains doutes quant à l’existence de ce « Messie-le-Sauveur » et de ce « Paradiland » dont ils n’ont même pas vu une illustration. Je crois qu’ils aimeraient bien avoir plus de monde avec eux pour ne pas avoir le nom d’être si peu à s’être fait berner », conclut l’un de ceux-ci en riant.
Vous êtes si absorbé par les conversations que vous n’avez pas prêté attention à l’annonce de la prochaine gare : « Argent-le-Pouvoir ». Le soir commence à tomber et vous avez de la peine à lire ce nom sur le panneau sur le quai. Vous passez juste la tête par la portière pour vous assurer que l’autre rame est toujours accrochée à la votre. Les voyageurs sont de moins en moins nombreux à passer d’une rame à l’autre. Il semble que chacun a décidé de sa destination. Toutefois, la présence de l’autre rame vous rassure au fond de vous. Des flashes traversent votre esprit. Vous imaginez ce « Paradiland » dont parlait le prospectus, mais bien vite ces images s’estompent, remplacées par celles de vos compagnons de voyage, des multiples plaisirs dont vous profitez et auxquels vous pourrez encore goûter. Et ce « Géh… » vous ne savez plus quoi, c’est peut-être formidable aussi. Les autres, en tout cas, n’ont pas l’air de se faire de souci à ce propos.

Et le train repart encore. Vous remarquez soudain que, bien que de nombreux voyageurs soient montés dans votre wagon, il ne s’y trouve guère plus de monde. Certains ont quitté le train à l’une ou l’autre station. Vous les avez vus marcher sur le quai et descendre l’escalier qui mène au passage sous voies. Où sont-ils allés ? La question vous effleure, mais vous balayez de vos pensées. Vous êtes bien trop occupé à boire, à manger, à discuter…
Vous vous sentez un peu fatigué. C’est qu’il y a un moment que vous êtes en route. Le soir est venu maintenant. Vous constatez que votre visage s’est ridé, votre dos légèrement voûté ; vos articulations vous font un peu souffrir mais, à des degrés divers, il en va de même pour les autres voyageurs. Vos paupières deviennent pesantes, les conversations et la musique ne forment plus qu’un vague bruit de fond. Vous vous souvenez que c’était là votre première motivation à entreprendre ce voyage. Vous laissez la somnolence vous envahir, heureux de la résolution que vous venez de prendre.

« … arriver au terminus dans quelques instants. Apprêtez-vous à descendre du train car celui-ci va gagner le dépôt… » Vous vous réveillez en sursaut. Le paysage, au dehors, a changé. Dans la pénombre, vous apercevez des arbres noirs, sans feuilles, apparaissant sur un fond de brume. Pas de lumière, pas d’étoiles. Lugubre. Même dans le wagon, l’éclairage est jaunâtre. Les conversations se sont tues, faisant place à un silence pesant. Vous retenez par la manche un serveur qui passe dans le couloir et lui demandez angoissé :
- Où sommes-nous, monsieur ?
- Nous allons passer à « Coeurendurci », mais sans nous arrêter.
- Comment puis-je rejoindre l’autre rame, alors ?
- Elle a été désaccouplée lors du dernier arrêt à « Chansultime ».
- Mais je n’ai pas entendu l’annonce de cette station. Les haut-parleurs étaient en panne ?
- Non, non, elle a été annoncée comme les autres. Mais peut-être que vous dormiez à ce moment là. Excusez-moi, j’ai du travail.
Votre cœur se serre, vous êtes atterré, le sang a quitté votre visage. Au loin, dans la lueur du couchant, vous apercevez, tout petit, un avion qui prend de l’altitude. Une voix cassée murmure près de vous : « C’est l’avion pour Paradiland. » Votre gorge est nouée alors que le train traverse à petite vitesse la gare déserte de Coeurendurci ». Mais à ce moment quelqu’un entonne une chanson à boire, reprise par d’autres voyageurs. Des plaisanteries jaillissent : « L’avion a décollé, mais avec tous ces pisse-froid à bord, ils vont arriver gelés ! » « S’ils arrivent, renchérit une voix, car ils n’ont pas l’habitude de s’envoyer en l’air ! » Des rires fusent, d’autres moqueries sont lancées. Un homme affirme : « Nous, au moins, on est sur la terre, et la terre c’est du solide, on ne risque pas de s’écraser ! »

Mais déjà les freins grincent, le convoi ralentit, une voix annonce : « Géhenne, Géhenne, tout le monde descend. Et rapidement. » Le ton est ferme et le personnel de bord veille, avec un air soudain moins engageant que durant le voyage, à ce que tous les passagers s’apprêtent à quitter la voiture. Le train s’arrête avec une dernière secousse. La gare est sombre, dès les portières ouvertes, une odeur piquante vous prend à la gorge. Des hommes habillés de gris, armés de bâtons, attendent sur le quai. Vos compagnons de voyage sont hébétés, sans réaction. Votre tête est vide, vous êtes glacé et vous entendez à peine les ordres qui sont criés : « A l’appel de vos noms, répondez présent et avancez ; les hommes à droite, les femmes à gauche. Allons pressons, on attend un autre convoi. » Le quai se remplit de gens hagards qui, sans révolte, obéissent aux injonctions. Cette scène vous remet en mémoire des images documentaires que montrait la télévision : l’arrivée des déportés dans le camp d’Auschwitz, ou de Dachau, vous ne vous souvenez plus très bien. Vous osez timidement une question à un homme en uniforme qui est monté dans le wagon :
- Ce n’est pas ici que je voulais venir, je me suis trompé de rame. Quand y a-t-il un train pour retourner à « Dougevien » ?
Il vous répond d’un ton cassant et sarcastique :
- Aucun train ne repart jamais d’ici, c’est le terminus. Mais vous auriez eu tout le temps de réparer votre erreur durant le voyage. Allez, dépêchez-vous, on vous appelle.
Il vous pousse à l’extérieur, vous trébuchez sur une marche et … vous vous réveillez.

Pénélope

(« Moi chrétien ? Vous voulez rire ! » de René Déran chez Ourania)

lundi 29 octobre 2007

Présentation du GBU



Le GBU c'est le Groupe Biblique Universitaire. Il permet à des étudiants et même des jeunes travailleurs, chrétiens ou non, de se retrouver pour étudier la Bible en profondeur dans le but de mieux connaître Dieu afin qu’il ait un impact sur notre vie personnelle. Nous discutons des sujets qui nous intéressent, nous prions et chantons ensemble. On peut librement s’exprimer, sympathiser, prendre le temps de s’arrêter et réfléchir sur le sens de la Bible, et de ce que cela implique dans nos vies…